UA-122527695-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/01/2013

Lettre à sa fille avec toits de Paris

69308-1296834876.jpg

 

Une lettre de Marie Vorobieff à sa fille, dont le père est Diego Rivera




10/01/2013

Bois originaux d'Angelina Beloff, Diego Rivera et Marie Vorobieff

Traineau - bois.jpg

 

Samovar - Bois.jpg

Paysage russe - Bois.jpg

 

Eglise russe - Bois.jpg

 

Page de garde - bois.jpg

 

 

Ce sont donc quelques images d'Angelina Beloff (gravures sur bois si j'ai bien compris) du livre de Claude Anet dont j'ai parlé il y a quelques jours. Aussi "cliché" que le texte, mais belles, elles ! (Lle texte vaut son pesant de cacahuettes farcies).

Angelina Beloff (1879-1969) est la 1ere femme de Diego Rivera (1886-1957), ce peintre mexicain "clairement à gauche" comme dit wikipédia ! et qui fut ami avec Trotski et qui ensuite s'est marié avec une femme puis avec Frida Khalo (allez, dites-le que le monde est petit).

Rivera et Beloff qui ont vécu ensemble 12 ans, vertige de les regarder aussi ces deux-là:

j0x2lh5j.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Angelina peinte par Rivera en 1909:

27.rivera.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je n'aime pas ce que peint Rivera ni Angelina Beloff d'ailleurs. Par contre j'adore les tableaux de Marie Vorobieff qui fut la première femme, peintre et russe comme Angelina Beloff, avec qui Rivera a vécu, et beaucoup celui-ci (l'aimez-vous?):

 

not-identified-6.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Edward Henry Potthast (1857-1927): comment elle se penche

44213842.jpg

 

 

J'attends le printemps, l'été, la mer, les petits enfants au bord de la mer, j'attends la lumière, la fin de l'hiver,  j'attends les longues journées, le soleil,oh  comme j'ai aimé tenir la main de mes enfants quand ils étaient petits!, c'est bientôt à leur tour de connaître cela, j'aime sur le tableau les petits mollets dodus et la beauté de cette jupe jaune et de ses plis, le corsage rose, les canotiers et l'ombrelle verte. J'aime surtout comment elle se penche pour être plus près de l'enfant, de sa voix, de son souffle, pour regarder à hauteur de ses yeux à lui.

Je pars travailler avec ce tableau dans la tête, tant de visages aimés, et très mal à la tête (peut-être parce que j'ai le tableau dedans!)