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03/07/2016

Sophie de Monnier (née Sophie de Ruffey)

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J'ai commandé ce livre, d'occasion, "Les amours qui finissent ne sont pas les nôtres". Ce sont les lettres de Mirabeau à Sophie de Monnier. Et j'apprends ensuite que Thibaudet (vous savez, Albert Thibaudet que j'aime tant) aimait ces lettres "volcaniques", écrites du donjon de Vincennes où Mirabeau, condamné pour "rapt et séduction", était prisonnier. Sophie et lui avaient fui à Amsterdam où ils avaient été arrêtés sur ordre de son mari à elle, de son père à lui. Mirabeau fut enfermé à Vincennes trois ans, Sophie cloîtrée, enceinte, dans une sorte de maison de correction, puis dans un couvent.

02/07/2016

Les roupillons

Eh bien, c' est bien la première fois que j écris un billet sur un téléphone ! C est grâce à mon nouveau téléphone auquel j' ai eu tellement de mal à m' habituer. Bon, je n' ai toujours pas compris où sont les apostrophes (je les ai ajoutées sur l'ordinateur), ni d' autres petites choses, mais ce n' est pas dramatique, j' en conviens. Je peux donc écrire un billet avec juste ce petit rectangle dans la main, assise sur le canapé dont je n' ai guère bougé de la journée, submergée par une fatigue intense qui m' a fait piquer de multiples roupillons, lire un peu (les aventures de Desmoulins, Danton, et IMG_20160628_191955_BURST001_COVER.jpgRobespierre, dans l' excellent «Révolution» d' Hilary Mantell, qui a une des couvertures de livres la plus moche que j aie vue depuis longtemps..), regarder le ciel, soupirer. Oui, soupirer de fatigue, ma spécialité. Allez, je vais essayer d' ajouter une photo !

Jours de France, Marie !

2ee3538aadb6e9d4cfd1dd6ba3c3a563.jpgAh Marie, tu parlais de Jours de France dans ton commentaire ! Je l'ai découvert chez le dentiste quand j'avais onze ans, nous habitions à Nantes à cette époque-là et j'ai eu un coup de foudre pour les Parisiennes de Kiraz, mais aussi pour le papier glacé, les photos, les couleurs. Jamais ce genre de journal ne serait apparu chez mes parents. Maman n'était pas frivole, Papa encore moins (Papa lire Jours de France  ah ah !). Bref les Parisiennes c'était l'image du bonheur, de la légèreté, du luxe. Elles ouvraient soudain les portes sur quelque chose de magique: l'idée qu'un jour moi aussi je serais une jeune fille, ô rêve parmi les rêves !