Et voilà le travail

(en direct de Cognac Jay)

 

 

J'ai du mal à avoir de la tendresse pour Jean-Luc Mélenchon. Pourtant j'en ai pour Cahuzac. Et pour Frijide Barjot aussi, j'en profite pour le dire. En plus j'adore vraiment son nom. J'aimerais bien dîner avec elle. Alors que la pensée de dîner...euh...voyons...au hasard...avec Marisol Touraine me déprimerait complètement. Mais Mélenchon a dit "un bon coup de balai" et voilà c'est comme ça, ça m'a donné une envie de rangement, une envie furieuse de rangement. Allez, à la poubelle les comptes offshore qui pourrissent avec les éponges sous l'évier et les joyeuses serpillières ! Allez hop du balai, je range.

Et d'abord, vidons tous les placards.

Bon ben voilà c'est fait.

Et je n'ai plus aucune force maintenant pour ranger.

Je me suis fait un thé (sauras-tu trouver le bol de thé qui se cache dans la photo?) et je vais aller lire l'interview de Rihana sur  Médiapart  dans le Elle de cette semaine. (Non, non, pas dîner avec Rihana, pitié Seigneur, pitié! je vais tout ranger, pitié!)

 

Hier dans un café de Budapest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

notre agent  est à Budapest (je n'ai pas dit: notre argent est à Budapest !)

 

 

 

Bach

Bach en 1715 (il a 30 ans)

 

 

Cela va faire  trois ans que mon père est mort et c'est seulement depuis très peu de temps que je peux à nouveau écouter Bach qu'il aimait tellement, que j'aimais tellement, que j'aime tant. Je ne pouvais plus.

Dieu soit loué.