11/10/2015
Ses sublimes portraits
Ce sont toutes les trois des photos prises par Madame Yevonde, une photographe anglaise, née en 1893 et morte en 1975, et dont je ne connaissais pas l'existence il y a trois minutes.
Les photos datent des années 30. A partir du 14 octobre, une exposition au musée d'Orsay montre ces photos et celles d'autres femmes photographes. Le communiqué de presse indique trois parties dans l'exposition: "le détournement des codes (Imogen Cunningham, Madame Yevonde, Aenne Biermann, Lee Miller, Dora Maar, Helen Levitt), l'autoportrait et la mise en scène de soi (Claude Cahun, Marta Astfalck Vietz, Marianne Brandt, Gertrud Arndt, Elisabeth Hase, Lise Bing) et la conquête des nouveaux marchés de l'image (Germaine Krulle, Margaret Bourke, Tina Modotti, Barbara Morgan, Gerda Taro, Dorothea Lange, Lola Alvarez Bravo...)"
22:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
Absinthe, chai pas, range ta chambre, relis tes cours, révise ton code
22:18 | Lien permanent | Commentaires (6)
La tour Eiffel, les dalhias roses du rond-point des champs élysées, le plafond art déco du théâtre
Ce matin par un doux temps d'automne doré, nous sommes allés à Paris écouter Koroliov jouer Bach au théâtre des champs-élysées. On s'est garés avenue Matignon, on a traversé le rond-point des champs-élysées. Je me suis dit qu'au retour j'essaierais de piquer un dahlia rose (Hélas je ne l'ai pas fait). On a descendu l'avenue Montaigne et on était au théâtre, avec ses tapis rose poussière un peu décatis, son plafond art déco, et Koroliov, la retenue, la simplicité, la classe, la fermeté et la douceur, le génie, Bach au piano. C'était très beau, vraiment très beau, très pur, au-dessus de tout.
Ensuite on a déjeuné à La Marine, j'y ai traîné tout le monde, parce qu'il y a des moules. Je ne sais pas si Bach parfois mangeait des moules.
(je sais les photos sont floues, très floues)
16:56 | Lien permanent | Commentaires (10)