06/05/2017
J'étais infatigable
J'étais infatigable et je ne le suis plus. Le soir en partant du travail, avec du rouge à lèvres je reste debout dans le métro. Sans, on me laisse tout de suite la place. Si, si, j'ai bien remarqué. Parfois, souvent, la fatigue me terrasse. Je pense à des pays en me demandant comment j'aurais la force d'y aller. Même si je bénis Dieu de m'avoir fait marcher 12 kms à Budapest sans aucune difficulté. Un doux miracle. Bon cette fois je vais jeter mes journaux, tous ces cahiers. Je ne veux pas qu' ils soient lus si je meurs ou pire, qu ils ne soient pas lus, et que d' autres pourtant hésitent à les jeter, en soient embarrassés. J'ai dit mardi dernier à ce personnage qui est mon chef que je partirai ( à la retraite) au plus tard en septembre 2018. Je cherche ce que je ferai à la place. Si je ne fais rien, ça va trop me fatiguer.
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05/05/2017
Les casoar (ou casoars ?)
photo au-dessus: Vladi (vous voyez ces pattes et cette boule en fourrure au-dessus, on dirait quelqu'un qui s'est déguisé)
Vous voyez ce truc incroyable ? C'est un gros oiseau très rare, un casoar. Quasi un casorar. C'est un animal en voie d'extinction, qu'on ne trouve que dans le nord-est de l'Australie et en Nouvelle-Guinée. (Je vous mets la carte pour que vous voyiez bien, c'est un blog instructif). Ce sont les mâles casoar qui couvent les oeufs et s'occupent des petits pendant au moins un an pendant que leur mère va batifoler on ne sait où. (Encore un méfait de Mai 68). Normalement ce sont des animaux assez dangereux. Mais celui-là est passé mine de rien, sans chercher noise à qui que ce soit, a dit Vladi. Il peut peser 70 kilogs et ses griffes sont comme des poignards. On ne voit pas sa tête sur la photo prise par Vladi hier, mais regardez comme c'est beau. (photo de la tête prise sur le site du Gala des casoar). Extraordinaire, non ? Avec ce cou en beefsteack haché. Merveille infinie de la diversité des animaux, des fleurs, des desserts.
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04/05/2017
Antoine Berjon (1754-1843), peintre lyonnais
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