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06/05/2017

Maria Cosway (1760-1838)

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Autoportrait 1787

Elle a été amie avec André Chénier (c'est par lui que je découvre son existence aujourd'hui), elle a longtemps correspondu avec Pascal Paoli et avec Thomas Jefferson qui était tombé  amoureux d'elle. Cette peintre et musicienne italienne, née à Florence, née Hadfield, et dont j'ignorais tout, s'est mariée en 1781 avec un peintre anglais apparemment célèbre, Charles Cosway, un grand miniaturiste (si on peut dire). Les lettres de Jefferson, disponibles en langue anglaise, ne semblent pas hélas avoir été traduites et publiées en français. Les biographies de Maria Cosway non plus. Mais quel dommage !

Le programme

752407.jpgAndré Chénier

IMG_20170506_154341.pngVoilà le nouveau programme de l'agrégation. Epreuves en mars/avril 2018. Je crois que le professeur Ronchon va s'y recoller. Ce serait une excellente idée. Alors, quoi de beau au programme cette année? Bon, d'abord, Montaigne. Je crois qu'ils oublient chaque année de l'enlever de la liste, non? Je sais que c'est très bien et toussa, mais jamais pu en lire une ligne. Vraiment ça me barberait de devoir le lire. Mais attention, je ne m'en vante pas. Et l'agrég ce n'est pas moi qui vais la passer ! Deuxio, "Esther" et "Athalie" de Racine. Ok, ça ça va. Ensuite, André Chénier. Ce midi j'ai soutenu que c'est un poète du XIXème siècle. Pas du tout, c'est un gars des plus élégiaques qui voulait être le "Homère moderne" et qui a été guillotiné à 31 ans en 1794. Très intéressant, j'adore, je veux le lire.  Et puis "L'éducation sentimentale", et, petite fantaisie, juste pour énerver le Ronchon: "L'usage du monde" de Nicolas Bouvier. Franchement Professeur Ronchon, allez-y ! Hein, dites-lui, vous, d'y aller !

J'étais infatigable

IMG_20170505_202908.jpgJ'étais infatigable et je ne le suis plus. Le soir en partant du travail, avec du rouge à lèvres je reste debout dans le métro. Sans, on me laisse tout de suite la place. Si, si, j'ai bien remarqué. Parfois, souvent, la fatigue me terrasse. Je pense à des pays en me demandant comment j'aurais la force d'y aller. Même si je bénis Dieu de m'avoir fait marcher 12 kms à Budapest sans aucune difficulté. Un doux miracle. Bon cette fois je vais jeter mes journaux, tous ces cahiers. Je ne veux pas qu' ils soient lus si je meurs ou pire, qu ils ne soient pas lus, et que d' autres pourtant hésitent à les jeter, en soient embarrassés. J'ai dit mardi dernier à ce personnage qui est mon chef que je partirai ( à la retraite) au plus tard en septembre 2018. Je cherche ce que je ferai à la place. Si je ne fais rien, ça va trop me fatiguer.