UA-122527695-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

30/04/2017

Le fil de la pyrogravure

entreeprincipalelycee.jpgSabine me disant qu'elle faisait de la pyrogravure (sûrement de façon exquise, car Sabine a vraiment des doigts de fée), je me suis souvenue alors que je n'y avais pas pensé une seule fois pendant cinquante ans, que j'avais fait de la pyrogravure en classe de dessin en 3ème au lycée. Je n'ai pas du tout des doigts de fée, je cochonne ce que je fais, je ne suis pas soigneuse, je suis maladroite. Mais j'avais bien aimé ces séances de pyrogravure. Plus en tous cas que les cours de dessin. C'était avec ce prof ou l'année d'avant que pendant un trimestre nous avions dû dessiner des pots de yaourt au crayon gris et seulement les contours ? Mortellement ennuyeux !

Ce lycée était un peu spécial. Et je me demande d'ailleurs si je ne l'ai pas déjà raconté vingt fois. C'était le lycée de jeunes filles de Casablanca, le lycée Mohamed Chawqui. Je viens de retrouver sur internet une photo du portail (tout en pyrogravure !).

Son premier mari

ob_b3772f_danielle-darrieux-et-henri-decoin.jpg

Son deuxième mari

558644621.jpg