Larssonien

"Le modèle écrit des cartes postales", 1906, Carl Larsson (exposition du 7 mars au 7 juin au Petit Palais à Paris)

En poche pour 6 euros (on peut encore fumer en couverture des livres, ça ne va peut-être pas durer !)

J'ai trouvé hier soir en rentrant de travailler, au Relay de la gare Saint-Lazare -ou plutôt: j'ai trouvé au Relay en rentrant de travailler- cette édition de poche, qui vient de paraître.

Le livre est paru chez Plon en 2006, mais la première fois en 1984 aux éditions Hermann, 1984 comme "1984". Je ne savais pas que ce livre de Simon Leys sur Orwell existait.

Est-ce que ce n'est pas merveilleux de trouver ça comme ça, aussi facilement, l'avant- veille de la parution officielle (je viens de regarder sur le site de Flammarion puisque Champs est la collection de poche des essais chez Flammarion, il doit sortir normalement mercredi, et je vous ai déjà dit que j'ai un faible pour les livres comme pour les films  le jour où ils sortent, je ne sais pas d'où vient ce faible - vous croyez que c'est du snobisme? Non je vous assure je ne crois pas, c'est plutôt un truc de fraîcheur comme une fleur ouverte la nuit dans le jardin et qu'on trouve au petit matin !), un livre qui coûte seulement 6 euros, à la fois Orwell, ET Simon Leys (un peu chiant Simon Leys mais toujours chiant intéressant), pas encombrant, cette collection de poche que j'aime beaucoup, autrefois les couvertures étaient beiges, elles ont pris maintenant une jolie couleur éclatante de citron que j'adore, et puis même si je ne fume pas j'ai toujours aimé les hommes qui fument (exceptions qui confirment la règle contre l'envoi de trois timbres), et un homme qui fume en tapant à la machine à écrire c'est tellement séduisant (non, ça ne fait pas pareil avec un ordinateur, non, pas du tout ! Oui les amis je suis d'une autre époque).

Et sinon à part ça? Eh bien hier soir j'étais trop fatiguée pour le commencer dans le train, là cette nuit après cette petite insomnie je vais me recoucher, et je le commence demain matin. Puisqu'il faut tout vous dire !

 

On a dit: hé ho, ça va maintenant, les papparazzi !(quand je passe dans un couloir au boulot. Sans gêne cette engeance)