22/08/2015
Alassio
Villa de la pergola (photo site du figaro)
S'il y a un endroit où j'aimerais aller, c'est là, à Alassio, sur la Riviéra, à 80 kms de la frontière française, entre Nice et Gênes, pour voir ce jardin sauvé des promoteurs immobiliers et où vivent 350 variétés d'agapanthes, des rosiers, des glycines, des pensées, des cactus, des palmiers et des bougainvillées. Je viens de lire ça sur le site du figaro.
07:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2015
Et Bohémond de Tarente? (un autre valeureux croisé; qui cherche ici ce qu'il va pouvoir faire à manger ce soir)
La princesse byzantine Anne Comnène l'a décrit comme ça dans l'Alexiade, une biographie de son père l'empereur Alexis 1er.
« (Bohémond de Tarente) dépassait les plus grands d’une coudée ; il était mince du ventre, large des épaules et de la poitrine ; il n’était ni maigre ni gras. Il avait les bras vigoureux, les mains charnues et un peu grandes. À y faire attention, on s’apercevait qu’il était tant soit peu courbé. Il avait la peau très blanche, et ses cheveux tiraient sur le blond ; ils ne passaient pas les oreilles, au lieu de flotter, comme ceux des autres barbares. Je ne puis dire de quelle couleur était sa barbe ; ses joues et son menton étaient rasés ; je crois pourtant qu’elle était rousse. Son œil, d’un bleu tirant sur le vert de mer, laissait entrevoir sa bravoure et sa violence. Ses larges narines aspiraient l’air librement, au gré du cœur ardent qui battait dans cette vaste poitrine. Il y avait de l’agrément dans cette figure, mais l’agrément était détruit par la terreur. Cette taille, ce regard, il y avait en tout cela quelque chose qui n’était point aimable, et qui même ne semblait pas de l’homme. Son sourire me semblait plutôt comme un frémissement de menace… Il n’était qu’artifice et ruse ; son langage était précis, ses réponses ne donnaient aucune prise. »
Wow !
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La blessure de Godefroy
au cloître Saint-Trophime à Arles
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