Le 28 septembre 1915 Frédéric Louis Sauser (Cendrars), engagé volontaire, perd sa main droite au combat

C'est en regardant de quoi Antoine Compagnon (mon raseur préféré) va parler cette année dans ses cours au Collège de France (chaque année le mardi à 16h 30, de janvier à avril, entrée libre) que je découvre ce livre autobiographique de Cendrars -qui n'est pas seulement le chat de Solko- paru en 1946, d'abord aux éditions Denoël (oui elle est un peu longue cette phrase).

 

Le programme de Compagnon cette année c'est "La guerre littéraire". ???? Il veut dire " la guerre dans la littérature"? C'est un drôle de titre qui peut signifier aussi autre chose, d'autres choses, non? Bref, la seule indication que j'aie trouvée pour le moment c'est qu'il sera question, entre autres, (et aussi du texte de Giono "Le grand troupeau") de ce texte de Cendrars. Je le connais très mal. Il était pourtant très à la mode quand j'étais jeune. Je n'ai pas assez lu. Ou plutôt trop d'âneries.

Grâce à Jos je découvre ce tableau

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Grâce à Jos qui a parlé ici du vase bleu de Van Gogh, je découvre ce tableau que je ne connaissais pas, et les méfaits du vernis qui avait été posé ensuite dessus pour le conserver. Regardez ici

La larme noire de Jimmy un jour d'hiver où il fait triste comme à Berlin

 

 

"Mais les fenêtres sont dégueulasses !" Oui Jimmy, les fenêtres sont dégueulasses ! Bon, et à part ça? A part ça tout va bien.  Absinthe suit Jimmy pas à pas et il n'a plus peur d'elle, elle n'a plus peur de lui. Il ne reste plus caché sous les lits. Il regarde les titres des livres (en vrai!). Il essaie chaque fauteuil. Il n'ose pas encore monter sur les lits. Il garde son air triste. Il regarde par la fenêtre. De temps en temps ils approchent leur museau l'un de l'autre.