04/03/2014
Une vie extraordinaire, des bracelets plein les bras
Photos: Cecil Beaton, Man Ray, ?
Pochoir: Holly Gaboriault
Elle a publié aux éditions Hours Press qu'elle a créés en 1928, Ezra Pound et le premier texte de Beckett. Le musée du quai Branly (qui est un endroit que je n'aime pas du tout, et ah cet horrible slogan: "là où dialoguent les cultures" !) rend hommage en ce moment à son livre "Negro Anthology", une somme de 800 pages, dont c'est le 80ème anniversaire de la parution. Elle disait "Egalité des sexes, des races, des classes"! Nancy Cunard (1896-1965) est cette femme magnifique qui a eu une liaison deux ans avec Aragon -qui ne l'oubliera jamais- et plus tard avec Neruda, mais aussi Tristan Tzara, Huxley....et ce musicen de jazz noir qui s'appelle Henry Crowder et pour qui elle avait quitté Aragon. Elle est morte seule et pauvre. Mais pourquoi une vie extraordinaire serait condamnée à finir tristement ?
18:15 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
Elle avait du goût pour choisir les hommes de sa vie !
Pour enfiler tous ses bracelets, il fallait qu'elle se lève tôt ! (j'en ai compté dix sept, sur une des photos).
Écrit par : Julie | 05/03/2014
Peut-être un bracelet par homme ?!?
Écrit par : Sophie | 05/03/2014
Tu vas voir l'exposition même si tu n'aimes pas le lieu ?
Écrit par : sabine | 05/03/2014
Non ! Je n'aime vraiment pas le lieu et en fait le sujet de l'exposition ne m'intéresse pas; je crois en effet qu'elle a + pour sujet le livre de Nancy Cunard ("Negro Anthology") qu'elle-même, et ça ne me passionne pas !
Écrit par : Sophie | 05/03/2014
Je ne sais pas trop pourquoi mais je suis aussi en froid avec ce musée.
Écrit par : Fanfan | 06/03/2014
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