30/10/2016
Un dimanche paisible
Quelle chance les dimanches paisibles. J' ai préparé un petit salé et des pommes au four. Maman est venue déjeuner, fatiguée. Puis j'ai sorti Absinthe dehors au soleil, quelques feuilles dorées tombaient doucement des arbres, elle s'est allongée dans l'herbe, moi aussi, non je rigole, deux dames sont passées: " oh, un chat" à dit l'une. " C'est un persan" à dit l'autre. Moi: " Pas du tout, c est un De Gouttière". On a causé les dames et moi. "Ah ah vous avez bien de la patience". Elles disaient ça parce que j' attendais qu' Absinthe veuille bien se relever de sa pose alanguie, et " C'est elle qui vous mène, c'est pas vous qui la menez" avec un peu l'air de dire que j'étais une originale. Ensuite je leur ai dit bonne promenade et j'ai vu qu'il y avait sur le petit rond-point, des asters. Or j'adore les asters. On est remontées dans l'appartement, Absinthe et moi. J'ai lu le Journal du Dimanche, je me suis endormie, puis je ne sais plus puis j'ai fait un gâteau. La nuit est arrivée très vite. Et demain j'ai pris une rtt, je ne vais pas travailler, et j'en suis enchantée.
21:29 | Lien permanent | Commentaires (5)
Cunot Amiet (1868-1961)
Absinthe en 1902
18:56 | Lien permanent | Commentaires (2)
Amerling (1835-1880)
Et voilà encore un peintre que je ne connaissais pas. (Un genre d'Ingres). Il est autrichien. C'est incroyable de peindre comme ça, non ? Le classicisme à l'état ultra pur. Merveille.
08:58 | Lien permanent | Commentaires (3)