02/08/2016
On est rentrés
Les Rameaux à Landerneau, Jules Noël (1810-1881)
Nous sommes rentrés. Je reprends le travail demain. On est rentrés à toute vitesse, dans la Porsche du Professeur Ronchon. Mais non, il n'a pas de Porsche, il a une Jaguar. Bref nous voilà de retour. Absinthe et Jimmy, qui avaient été laissés à la bonne garde de Vladi et Louise, sont en pleine forme mais nous ont fait un accueil adorable, plein de tendresse, miaou miaou. Le Professeur a passé l'aspirateur et descendu la poubelle. Puis il est sorti acheter des Magnum amandes pour me donner du courage pour demain. Au courrier: ma feuille de paie, et un coupon de réduction Séphora de 10%. Le Professeur ronchonne (pléonasme) car il a commandé des manuels qui ne sont pas arrivés. Des manuels pour préparer la rentrée, les nouveaux programmes de merde. Sur le balcon, le marronnier a trois feuilles rousses: on va vers l'automne. Bon, je vais étendre la lessive. A bientôt !
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On part (ce matin)
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01/08/2016
Ah , la singularité de chacun...
Comme ça pendant le déjeuner, à propos de quoi, je ne sais plus, un des frères du Professeur dit qu'il les aime, mais hélas, ne peut plus manger de cerises. Ça le brûle partout. Non, il ne peut pas. Malheureusement. Une sorte d'allergie, quoi. Enfin disons, d'intolérance. D'ailleurs personne à la table n'emploie ces deux mots (moches), c'est moi ici qui le dit. Bref. Bref on passe à autre chose. Mais tout d'un coup je me suis dit que c'était extraordinaire, que c'était une des plus belles choses de cette semaine. Car je n'avais jamais entendu parler d'une difficulté avec les cerises, et c'est pourquoi j'ai pensé que c'est fou la singularité de chacun. Cette petite chose, ne pas supporter les.cerises, alors qu'on les aime, cette particularité, ces choses qui appartiennent à chacun et rendent chacun unique, si précieux. Je pourrais tomber amoureuse d'un homme qui a un problème avec les cerises, vous voyez ce que je veux dire ? La singularité de chacun, quelle merveille.
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