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12/05/2016

Marseille

20160429_091206.jpgphoto: T.

Au retour, nous avons débarqué à Marseille. Le ciel était réellement bleu comme sur la photo. On est restés sur le port une très longue matinée. Plus, même. De 8 heures à 15h. On a marché, on a bu des verres, on a déjeuné, on s'est promené. On est allés jusqu'au Mucem que nous avons trouvé affreux. On a aimé par contre, près du Mucem,  l'ouverture sur le large. il y avait un peu de vent. Des jeunes étaient assis sur des marches. Nous aussi on aime bien s'asseoir sur des marches. On a été surpris par le luxe des voiliers dans le port.

C'était le dernier jour des vacances.

11/05/2016

"Don Quichotte chez la duchesse": un ballet-comique de Joseph Bodin de Boismortier (1689-1755)

donquichotte_ot_metz_metropole_2015-4711web.jpg3-Don-Quichote-Le-Concert-spirituel©-copie.jpg

photo-gilles-wirtz.jpgVous aimez la musique baroque ? Moi, oui, au cas où vous me poseriez la question !

Je découvre par le plus grand des hasards l'existence de ce loufoque Don Quichotte, datant de 1743, de cette duchesse, et de ce compositeur semble-t-il très prolifique.

Hervé Niquet, un chef d'orchestre pour qui le Professeur Ronchon et moi, avions eu un coup de foudre, mais où déjà et quand ? Hein, Professeur Ronchon, rafraîchissez-moi la mémoire ! , a mis en scène ce gros délire des délires, et 3 représentations sont prévues à Versailles en juin. On y va ?

Allez, on y va, dis-oui !

Déjà, rien que pour l'apparition en prologue d'Hervé Niquet en hallebardier !

Le respect des femmes (suite)

Quand j'ai commencé à "faire du syndicalisme", c'était en 1982. J'ai eu à me battre pour avoir la parole, et pour que ma parole soit écoutée. Les hommes monopolisaient la parole.

Ce sont des femmes plus expérimentées qui m'ont aidée, encouragée, soutenue. Aucun homme. (Sauf mon ex-mari)

Puis quand j'ai commencé à bien me débrouiller,  j'ai connu toutes les jalousies de militants et d"élus ne supportant pas que ma parole soit écoutée, que je comprenne des fois plus vite, ou que j'agisse. (Y compris mon ex-mari).

Quand au bout de huit ans, j'ai arrêté, j'ai été violemment accusée de traîtrise, et même menacée de mort par trois syndiqués dingues qui étaient aussi excessivement fous de moi quand j'étais déléguée que furieux que j'arrête. J'étais leur chose.

La misogynie dans le milieu du syndicalisme est très forte. C'est un lieu de pouvoir.

J'y ai rencontré aussi quelques femmes ayant du pouvoir et odieuses, horribles avec les femmes, pire que les hommes.