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07/04/2015

Hé !

Photo-0470.jpgHé, j'ai repris le boulot. En quinze jours j'avais tout oublié. Même le trajet archi connu. J'ai vu à un moment des hauts de façades que je n'avais jamais remarqués : en sortant du métro, comme des maisons peintes par Vermeer. Enfin c'est fugitif hein. Et pour vous dire, je ne me souvenais même pas de la largeur des marches d'escalator, en descendant l'arrière de ma jambe s'est cognée dans la marche. 

J'ai retrouvé mes dossiers, la cantine, la fatigue du retour le soir. J'étais vachement mieux pas au boulot à faire du repassage et des câlins avec les chats.

Allez, je vais vider le lave-linge.

PS d'Absinthe et Jimmy: c'est pas trop tôt, elle est retournée au boulot. Gavants, ses câlins.

06/04/2015

Du pot de primevères du balcon à "Pomme d'anis (ou l'histoire d'une jeune fille infirme)"

Photo-0469.jpgJammes_-_Le_Deuil_des_primevères,_1920.djvu.jpgJammes_-_Le_Deuil_des_primevères.jpgmkP2xJemOWLiRxkxXms0liw.jpgproduct_9782070301447_195x320.jpg$_57.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En cherchant ce matin des trucs sur les primevères, je tombe sur "Le deuil des primevères" de Francis Jammes, paru en 1901 puis sur "Pomme d'anis", et j'apprends que Mallarmé l'a encouragé, qu'il a voyagé avec Gide, qu'il était ami avec Claudel, que Rainer Maria Rilke et Kafka l'aimaient. Moi qui croyais qu'il était juste parolier de Georges Brassens et posait pour des espadrilles...me voilà bien étonnée et enchantée.