08/10/2017
Les oiseaux Parduni, les chats, les copies
Louise est à Marseille, Vladi repart dans deux semaines en Australie, et nous, nous restons là avec les deux chats, Absinthe collée en permanence au Professeur Ronchon, Jimmy collé à moi. Ainsi va la vie, le Professeur corrige ses copies, j'écoute Philippe Jaroussky, c'est la nuit.
22:04 | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Holala quelle tâche je suis ! Je cherchais ce qu'étaient des oiseaux Parduni, je croyais que c'était une sorte d'oiseaux des iles...
Écrit par : sabine | 09/10/2017
L'oiseau parduni est une espèce courante....... on en trouve dans toutes les familles. Chez nous, l'oiseau parti au soleil d'Afrique avait affaire à Paris en fin de semaine et aujourd'hui et demain. Il en a profité pour venir faire un petit tour à la maison, de vendredi soir tard et dimanche après midi. Bien court, comme j'ai fini par m'habituer à ne pas le voir souvent, quand il fait un petit sejour comme ça, je ne suis même pas sûre que ça me fasse plaisir, car la tristesse du départ se réactive. Il me manque, les petits me manquent, j'ai l'impression que pour les enfants, nous rompes des étrangers, bien braves, mais qui ne font plus partie de leur vie ou si peu......
Écrit par : Julie | 09/10/2017
Ainsi va la vie, comme dit Sophie...
Je partage le commentaire de Julie, je ressens les mêmes réactions..
La joie de les voir est là, très forte, mais on s'habitue tristement, la vie passe sans eux, c'est bien dommage..mais ils ont leur vie à eux comme nous avons eu la nôtre, c'est la suite logique... l'appréhension des départs est pour moi très forte surtout quand nous les conduisons au train.
Fred vient en fin de mois, Flo peut être aussi, Chris à 45 ans, le tournis...Profitons du temps présent...
Écrit par : Jos | 10/10/2017
Oui, c'est bien cela la tristesse des départs se réveille...
Écrit par : Jos | 10/10/2017
Chez ma sœur chérie, partie si vite,
mon neveu est coincé au C.....en Afrique, il a 2 garçons encore jéunes..
ma nièce a 2 filles, Parduni aussi, tout juste terminé de longues études, 23 et 24 ans, l'une à Stockholm, l'autre à Amsterdam
Écrit par : Jos | 10/10/2017
je connais bien ces oiseaux de Paradis, c'est la vie, et que vive la musique réparatrice.
Écrit par : la Mère Castor | 10/10/2017
Oui, c'est la vie.....j'ai quitté la,maison familiale à vingt ans quand je me suis mariée, mais j'ai continué à vivre dans le même village que mes parents. Ensuite, j'ai un peu plus bougé mais á part un sejour de deux ans pour suivre mon mari qui reprenait des études à Lille, je suis toujours restée dans les Ardennes. J'ai encore un fils dans le département, je n'ai pas á me.plaindre. Ma meilleure amie a deux fils dont l'un vit en Haute Savoie et l'autre en Normandie......Elle vient de perdre son mari et j'ai du mal pour elle, ses enfants sont adorables et prévenants, mais le travail dicte sa loi.
Écrit par : Julie | 11/10/2017
Je te comprends, Julie, pour ton amie
Perdre son compagnon et ses enfants au loin est une rude épreuve..
Dans le club où je suis inscrite depuis 40 ans, nous sommes d'âge de 60 ans à 85 ans environ, club féminin dynamique, nous sommes différentes par nos familles, enfants près ou loin, époux là ou pas, nous faisons ou pas beaucoup de choses, parfois quand je vais moins bien, je y vais pas, mais je trouve que l'on y retrouve une présence, sans " commérage" du moins en face,
je garde le goût de la vie grâce à ce club, nous ne parlons pas de nous, mais je me surprends à être triste quand certaines disent " j'ai les petits enfants " ,..c'est la vie qui passe...
Je vous embrasse
Écrit par : Jos | 12/10/2017
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