28/06/2015
Un dimanche à rayures
Vous avez vu on dirait que j'ai des poils sur le torse. Mais pas du tout c'est juste des rayures rides.
19:55 | Lien permanent | Commentaires (7)
Commentaires récents
- Julie sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Julie sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Elisabeth sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- la Mère Castor sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- la Mère Castor sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Julie sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Jos sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Jos sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Julie sur Chateaubriand et les gilets jaunes
- Julie sur Chateaubriand et les gilets jaunes
Rechercher
Commentaires
Oh, les pâtes à rayures ont quelque chose d'effrayant ! Je vous trouve l'air bien sérieux, tous les deux.
Écrit par : sabine | 28/06/2015
Moi je ne trouve pas -pour les pâtes- mais c'est aussi ce que Maman a trouvé. Et même que ça faisait peau de serpent !
Sinon oui on est sérieux.Deux éminents docteurs en merdouillologie en route pour le Ier Congrès mondial de merdouillologie, n'ont pas envie de plaisanter, crois-moi.
Écrit par : Sophie | 29/06/2015
Je ne suis pas fan des pâtes à rayures, on dirait des morceaux de tissu au milieu de la salade. J'aime bien la chemise de Tanguy, elle est jolie, arrête de focaliser sur des broutilles genre cheveux blancs et rides. Tu es super belle !!!!!
Comment va ton genou ?
Écrit par : Julie | 29/06/2015
Mon genou va mieux, c'est génial. Mais j'ai affreusement trop chaud. Comme dirait Vladi je suis en mode zombi.
Écrit par : Sophie | 04/07/2015
Je les connais ces rayons au-dessus du décolleté, j'ai les mêmes et dans le même sens. Au début elles apparaissaient le matin quand les draps ont laissé leurs empreintes. Elles disparaissaient dans la journée et puis un jour elles sont restées comme imprimées sur la peau, telles un tatouage.
Merci pour la petite visite
Écrit par : Marie Hatton | 29/06/2015
Alors les préparatifs?
Écrit par : Sophie | 06/07/2015
J'ai mouru de chaud en descendant du train mercredi soir, tout le monde soufflait comme des phoques en sortant du wagon climatisé pour trouver la canicule parisienne.
Écrit par : Julie | 05/07/2015
Les commentaires sont fermés.