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26/01/2014

Coucou les pisse-vinaigre !

cunnamed.jpg"On arrive à Hong-Kong" (notre agent avant-hier)

 

Bon, alors on n'a pas le droit de commenter "l'affaire" Trierwiller !  Pourquoi ? Parce qu'on n'en sait rien, me dit-on, parce que ça ne nous regarde pas, parce qu'on s'en fout, parce qu'on est au-dessus de ça, parce qu'on n'est pas des médiocres, on n'est pas des minables ! Voilà ce que j'entends!

Ah ben ça alors ! Si on ne peut pas être médiocre !  parler que de ce qu'on connait ! Bien sûr qu'on n'en sait rien. On ne sait rien d'ailleurs, et encore heureux, de ce qui se passe entre les gens qui vivent ensemble. Mais on parle parce que sur terre on parle, on se dit ce que ça nous fait. Les histoires d'amour c'est plus inspirant que tout. Et comment les gens se séparent aussi. Bien sûr que nous sommes tous, comme au spectacle, comme au théâtre, tour à tour pour l'un, pour l'autre, Madame Bovary c'est moi, Valérie Trierwiller c'est moi, François Hollande aussi , bien sûr que c'est un roman-photo, bien sûr que c'est passionnant !

Et Valérie Trierwiller c'est quand même à la fois la femme dont on se dit "c'est atroce si elle est dingue amoureuse de lui" - et il n'y a rien de pire que d'être amoureuse d'un homme pas beau, ça m'est arrivé et je n'ai jamais été aussi folle-  et " bien fait, quelle peste, elle l'a fait à Ségolène Royal".

Quand Strauss-Khan faisait parler de lui, on entendait "du cul, du cul, mais où est le sentiment là-dedans?" et là on entend "sentiment, sentiment", et ça ne va pas non plus! Moi je vois pour tout le monde le mystère du cul-sentiment, des sentiments qui vont, qui viennent, qui lassent, qui meurent, qui restent vivaces et on ne sait pas pourquoi.

C'est qu'en réalité les "on a pas le droit de juger, d'en parler" me font bien rire.

Parler c'est juste des mots, ce ne sont pas des décisions, c'est le plaisir de la conversation.

Quand j'étais une petite fille, on n'avait le droit de parler de rien. Parler c'est amusant, ça ne mange pas de pain, ce sont des histoires. Flaubert avait aimé le fait-divers dont il s'est "servi" pour écrire "Madame Bovary".

Moi j'essaie de trouver dans les bras de qui Valérie Trierwiller pourrait tomber pour se consoler, un truc qui embêterait Hollande, un gars avec panache....allez, Nicolas Bedos tiens ! ça serait parfait !

 

 

 

 

Commentaires

J'adore ce billet ! Il dit très bien ce que je pense, merci Sophie d'être mon porte-parole. Et parlons, parlons...

Écrit par : sabine | 26/01/2014

"Porte-parole"..."Parlons..." c'est très joli !

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

un joli roman ton billet, Sophie,
"on" nous a donné la parole, alors parlons, je suis bavarde sur certains sujets, d'autres appellent à ma discrétion, mais pour que je ne parle pas, il faut : sois que je sois seule (et encore!) soit que l'on me couse la bouche, soit qu'un évènement trop bête m'arrivant me rende muette comme en ce moment
bonne semaine à tous et toutes

Écrit par : jos | 26/01/2014

Qu'est ce qui se passe? Quel événement bête Jos?

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

Je souhaite à Valérie de tomber dans les bras d'un homme, avec un regard profond, un regard qui "regarde" vraiment. Un gars intelligent, exerçant un boulot magnifique, un savant, un chercheur ou philosophe. Si il est beau, ça ne gache rien, mais ce n'est pas le plus important. Je lui souhaite de se remettre de cette répudiation qui m'a vraiment révoltée. Je sais bien qu'on n'est pas maître de ses sentiments, qu'il est peut être vraiment amoureux de sa Julie, mais dans ce cas là, il n'avait qu'à quitter Valérie avant, pour qu'elle ne subisse pas en si peu de mois honneur et indignité.

Écrit par : Julie des hauts | 27/01/2014

Oui je crois que c'est ça la question: "quitter avant".....

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

ah oui alors, c'est tout bien dit comme il faut. Si personne ne se mêlait de rien, de quoi parlerait-on dans les romans ?

Écrit par : la Mère Castor | 27/01/2014

Ben oui, voilà !

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

C'est bizarre......j'ai tant entendu parler de la première dame et de son président de compagnie, que je nr'éprouve rien pour eux, sauf que ça ne devait pas être rose pour eux s'ils ne s'entendaient plus.... J'ai surtout pensé ( pour me faire un petit roman dans ma tête) à cette jolie et très fine Julie Gayet, veillant le soir et la nuit en attendant son amant à motocyclette , et j'imaginais leurs conversations...et tout ça, tout ça...et mon imagination faisait le reste......................et je m'endormais bien tranquille, avec mon chat pas trop loin.....le bonheur parfait ! M.L.

Écrit par : meregrand | 27/01/2014

Ah ah j'adore "président de compagnie" !!!!

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

Maintenant que l'amant est seul et libre, ça sera peut-être moins rigolo pour eux.

Écrit par : Julie des hauts | 27/01/2014

Ben oui.... mais le monde est plein de femmes ...(et d'hommes !)

Écrit par : Sophie | 29/01/2014

Les commentaires sont fermés.