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« Derrière les tamaris | Page d'accueil | François H. résigné, sur la tête de qui Valérie T. a lancé le torchon rouge de la vaisselle de ce soir:" Je boirai donc la coupe jusqu'à la lie" »

10/12/2012

Comme j'aimerais à cet instant être elle....

mothers-pride.jpg

je ne retrouve plus qui a peint ce tableau

 

 

22:11 | Lien permanent | Commentaires (8)

Commentaires

C'est très beau mais je ne vais pas t'aider à l'identifier. En revanche, je n'éprouve aucune nostalgie en voyant ce tableau et suis bien incapable d'en donner les raisons

Écrit par : Fanfan | 10/12/2012

C'est beau, apaisant, mais comme Fanfan ça ne me rend pas nostalgique. Je pense que cette femme était accablée d'enfants trop nombreux, sans aucune commodité pour l'aider et que ça vie n'était pas aussi douce et agréable que ce que ce tableau nous montre.

Écrit par : Julie des Hauts | 11/12/2012

Comme je te comprends, j'aime cette paix.
C'est en Hollande, il y a des moulins au loin des sabots aux pieds et des cheveux blonds.

Écrit par : la Mère Castor | 11/12/2012

Bon, ne me demande pas comment j'ai trouvé, c'est trop long à expliquer et c'est pas pour frimer mais le tableau est de Evert Pieters. Gros bisous

Écrit par : sabine | 11/12/2012

Merci Sabine d'avoir identifié ce beau tableau, sur un fond de tendresse ; le peintre ou les artistes sont souvent là pour magnifier la vie et l'imaginer autre,
Ce tableau souhaite sans doute magnifier la maternité heureuse, bien que c'était pas toujours réel

Écrit par : jos | 11/12/2012

- Fanfan: ce n'est pas moi qui défendrait l'idée qu'on éprouve tous ou toutes la même chose devant un tableau!
- Julie: oui bien sûr certainement, mais moi j'ai un tel regret de l'époque où mes enfants étaient petits, j'ai sur-sur- adoré cette période de leur enfance
- La Mère Castor: oui. J'aime tout dans ce tableau
- Sabine: merci, merci!
- Jos: peut-être que c'était difficile, peut-être aussi qu'elle était heureuse

Écrit par : Sophie | 11/12/2012

Quand mes enfants étaient petits, je bossais, j'avais un emploi du temps surchargé, mais c'est vrai que se souvenir des anecdotes de "quand ils étaient petits", ça provoque de sacrées bouffées de nostalgie. J'ai assez mal vécu leur départ de la maison, même si jamais je ne le leur ai fait sentir. Je ne peux pas exprimer la joie sans limite qui m'a envahie quand j'ai appris que j'allais être grand-mère...... J'ai la chance d'avoir gardé ma première petite fille jusqu'à son entrée à l'école et après, tous les mercredis et vacances scolaires. Elle continue à venir chez nous au moins une fois par semaine, et c'est un vrai bonheur. Je craque systèmatiquement devant tous les nourrissons, ça m'attendrit au delà du raisonnable.

Écrit par : Julie des Hauts | 12/12/2012

Pour revenir à ce beau tableau, belle tendresse, calme, sérénité,

Écrit par : jos | 12/12/2012

Les commentaires sont fermés.