02/12/2012
Ciel parme du premier dimanche de l'Avent
A un moment, j'ai été très émue, après avoir communié à la messe ce matin, ce que je n'avais pas fait depuis très longtemps. Mais je suis émue aussi quand je chante l'Internationale.
C'est sans doute la ferveur qui m'émeut.
22:30 | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
Bel Avent Sophie.
Tes mots me rappellent le film "Ma nuit chez Maud". L'as-tu vu?
Écrit par : Marie-Hélène | 02/12/2012
Sophie, ce sont des larmes de cristal, bel avent , bises
Écrit par : jos | 03/12/2012
J'aime bien ton interprétation parce que je suis un peu dans le même cas : émue par les cantiques dans les églises mais aussi par les marches militaires. Ferveur sans doute et aussi mystique de la "communion", d'une foule en harmonie???
Écrit par : Fanfan | 03/12/2012
je vous rejoins Sophie, Fanfan..et vous tous par cette émotion lors de différentes célébrations ; émotion et larmes prêtes à surgir ;
Écrit par : jos | 03/12/2012
L'internationale en russe, c'est bouleversant, malgré tout ce qu'on sait.
Écrit par : Julie des Hauts | 03/12/2012
Chantez l'internationale à la messe, pour voir ! Ou un Pater au congrès du PCF !
Écrit par : Pascal Adam | 03/12/2012
Cette période de l'Avent ne m'exalte plus comme.....il n'y a pas si longtemps. Je ne peux plus rester une heure sans bouger à la Messe...Mais j'irai peut-etre voir la crèche de l'Eglise de mon quartier....en souvenir des visites de toutes les crèches du LYON de ma jeunesse....M.L.
Écrit par : meregrand | 04/12/2012
- Marie-Hélène: j'ai vu plusieurs fois "Ma nuit chez Maud", qu'est ce qui te rappelle ce film?
- Fanfan: en fait je crois que les raisons de mon émotion sont très différentes dans les deux cas. Je crois que je me suis trompée avec le mot "ferveur". Je crois que ça a plutôt à voir avec la force des souvenirs. Je suis très sceptique par rapport à l'harmonie d'une foule, je crois que je n'y crois jamais!
- Pascal: et la marseillaise sur un terrain de foot, pendant que vous y êtes!!!
Écrit par : Sophie | 04/12/2012
La ferveur vue à travers plusieurs personnages tous travaillés par la question du choix quelles que soit leurs convictions affichées: qu'est-ce qui les tient, les aiguillonne, les relie? Cette ferveur, je crois, déjà.
(Tu aurais presque quelque chose de Maud. Mais là, je prends des risques).
Écrit par : Marie-Hélène | 05/12/2012
("Quelles que soient!". Nom d'une pipe en bois belge! Bon, je suis définitivement hors concours Pivot, dyslexique refoulée, anorthographiée, perdue pour les lettrés et les autres... C'est dit!).
Écrit par : Marie-Hélène | 05/12/2012
Je suis aussi persuadée que la "ferveur" des foules soit n'existe pas, soit est très dangereuse. C'était juste un essai de comprendre cette sorte de réaction spontanée qui a l'air assez fondamentale, quels que soient les souvenirs personnels auxquels on peut la rattacher.
Écrit par : Fanfan | 05/12/2012
- Marie-Hélène: "quelque chose de Maud"...euh oui peut-être ("parlez-moi de moi ya qu' ça qui m'intéresse!"!)
- Fanfan:oui; ce n'est pas facile à comprendre. Peut-être que ce sont des moments où on se sent moins seul (quand on communie à l'église par exemple...) vraiment je ne sais pas
Écrit par : Sophie | 05/12/2012
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