06/03/2015
L'exposition universelle
Un nouveau nous a rejoint. Quant au grand, je me suis pris les pieds lundi soir dans la guirlande électrique en-dessous, que tout le monde déteste sauf moi au contraire, et je ne sais pas comment le dinosaure est tombé et j'ai été obligée de crier ensuite "ne jetez pas le dinosaure cassé!", ce qui est une phrase qu'on n'a pas souvent l'occasion de prononcer, et donc les voilà trois dont un blessé (sa tête, le pauvre).
07:25 | Lien permanent | Commentaires (23)
05/03/2015
Bettina s'appelait Simone Micheline
Bettina Graziani ici sur la couverture de l'Officiel en 1950, est morte il y a trois jours. Elle était tellement jolie, tellement fine, tellement adorable.
20:50 | Lien permanent | Commentaires (1)
04/03/2015
Un envoi à point nommé
Surgit à point nommé un envoi, de qui me donna un jour de façon aussi charmante un carré de Ronsard, et que je remercie ici. Pas Ronsard. -Si, Ronsard aussi ! -Cet envoi postal reçu ce soir, à point nommé, c'est le délicieux "Roland Barthes" de Patrick Mauriès aux éditions du Promeneur (éditions qu'il a fondées et qui appartiennent maintenant à Gallimard. Mauriès n'étudie pas, il se promène) J'ai toujours aimé Mauriès et sa préciosité, et son amour par exemple pour Louise de Vilmorin, et pour les textes un peu biscornus.
Son Roland Barthes, publié en 1992, arrive à point nommé alors que je termine la biographie de Tiphaine Samoyault. Il est aussi petit, mince et léger que la biographie est un gros -et délicat ceci dit, mais un peu universitaire quand même- pavé. Et surtout Mauriès a connu Barthes, ce sont ses souvenirs de lui -mais des souvenirs pas racoleurs, des souvenirs comme des "poussières d'images ou de moments" est-il écrit sur le rabat de la couverture.
C'est une photo de Barthes je crois, non? qu'on voit dans sa bibliothèque?
Bref, merci Fred.
23:31 | Lien permanent | Commentaires (6)