23/02/2016
Le ciel avant La Défense, le dégoût du corps des autres
ce soir dans le train de banlieue .
Voilà venu ce moment de l'année qui permet de voir le soir dans le train les plus beaux cieux. Saôule de fatigue, je les vois, ils me subjuguent et filent à toute vitesse. Dans le train, le matin comme le soir, il y a tous ces visages que je ne supporte plus de voir, et ces corps aussi près du mien, dont la proximité me dégoûte. Fait inquiétant, ça me dégoûte de plus en plus violemment.
22:46 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
C'est la promiscuité qui dégoute, qui dérange. L'obligation de côtoyer les gens que nous ne connaissons pas.
Écrit par : Julie | 24/02/2016
Oui mais ça ne me fait pas cet effet dans le métro....
Écrit par : Sophie | 28/02/2016
Bonsoir Sophie,
Je suis bien contente de voir Paris avec vous...Ca me manque parfois...Mais je n'ai jamais fréquenté autant de gens inconnus que vous, soit dans le métro, soit en bus, et je n'y ai jamais travaillé....Alors je vous dis " Bon courage" jusqu'au beau temps de la retraite.......C'est cruel de travailler encore...vous devez être très fatiguée....je )pense à vous...;et je vous embrasse...M.L.L
Écrit par : meregrand | 24/02/2016
Merci Mèregrand pour vos bonnes pensées
Écrit par : Sophie | 28/02/2016
Aie, c'est embêtant. Comment faire abstraction de tous ces gens qui te pressent...? Vraiment difficile. Je crois que même les Christian Andre et Matthieu Ricard y perdraient leur zénitude.
Écrit par : sabine | 24/02/2016
Je voudrais bien les y voir, oui !
Écrit par : Sophie | 28/02/2016
Je te comprends Sophie, côtoyer les gens sans le vouloir cela est très difficile, je me mets à ta place, je sors peu, je deviens solitaire, recul des autres et besoin en même temps, contradictoire, seule ma famille ou mes rares amies me manquent
courage Sophie
Écrit par : jos | 26/02/2016
Bises, Jos
Écrit par : Sophie | 28/02/2016
par contre de très beaux ciels.. je dors encore ...dépression de la presque vieillesse !
Écrit par : jos | 26/02/2016
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