01/06/2014
Pas bouleversée du tout.
Dans l'insomnie de la nuit de vendredi à samedi, je tombe sur "Apaisement. Journal VII. 1997-2003" de Charles Juliet.
Je n'empêche personne de le lire, mais il m'a ennuyée de façon prodigieuse. Presque autant que René Char. C'est dire !
Pourtant, j'ai presque tout lu dans l'insomnie, prise dans le vertige de la flemme de me lever du canapé pour attraper un autre livre. Je crois que cet homme-là -enfin je veux dire le personnage donné à voir dans son Journal- est suffisant. Presque prétentieux; à son insu peut-être. Mais toujours est-il qu'il l'est. Ainsi toutes les deux pages il rencontre une femme qui le trouve génial, qui est bouleversée par lui. Le summum c'est la scène de la caissière de la FNAC. Charles ! Tu ne vois pas le mépris que tu as sans t'en rendre compte ! Une caissière dont il rencontre les yeux. Hop, elle est bouleversée. "C'est un être de souffrance" dit-il-. Il dit ça de chacune de ces femmes. Et trois pages plus loin, ça recommence.
Ce ne sont que femmes et parfois hommes, bouleversés par lui, ce qu'il a écrit, ce qu'il a vécu.
Et puis il dit qu'il n'a jamais travaillé. Pour se consacrer à l'écriture. Qu'il a pu vivre parce que sa femme travaillait. Je ne sais pas, cet aveu ou plutôt la façon dont il l'écrit, me dégoûte. Comme dirait Copé "je suis profondément choquée" !
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La tendresse de Jimmy pour ma trousse à maquillage !
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En papier (ça donne le virouna, hein !)
Sur le blog Make my lemonade : toutes les explications pour faire ces roses en papier qu'on dirait en sucre!
(il suffit de cliquer sur le lien)
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